logo ecig occaz achat vente cigarettes electroniques

Média et petites annonces de cigarettes électroniques 💨

Jeune homme souriant en train de vapoter dans un parc en 2024, entouré de flacons de e-liquide aux arômes de mangue et de fraise, avec la tour Eiffel en arrière-plan et un ciel rempli de nuages de vapeur

Le marché de la cigarette électronique continue de grimper en flèche en France. En 2024, il a atteint 1,65 milliard d’euros, contre 1,45 milliard en 2023. C’est simple : que ce soit pour arrêter de fumer, pour tester une alternative moins nocive, ou juste pour découvrir des saveurs originales, le vapotage attire toujours plus de monde. Mais pourquoi un tel engouement ? Et à quoi faut-il faire attention quand on se lance ? On fait le point.

Le vapotage séduit toujours plus de Français

C’est un fait : de plus en plus de Français troquent leur clope traditionnelle contre une e-cig. Aujourd’hui, on compte environ 3 millions de vapoteurs quotidiens en France, et un million d’utilisateurs occasionnels. Ce succès ne doit rien au hasard. La cigarette électronique est devenue une solution sérieuse pour celles et ceux qui veulent se sevrer du tabac tout en douceur, sans passer par l’arrêt brutal souvent compliqué.

La magie du vapotage, c’est sa flexibilité : des e-liquides avec ou sans nicotine, des saveurs pour tous les goûts, des dispositifs simples ou plus techniques… Bref, tout le monde peut y trouver son compte. En plus, l’offre s’est clairement démocratisée : on trouve aujourd’hui environ 3 500 boutiques physiques, sans compter les vape shops en ligne.

Et niveau business, ça donne quoi ? Une croissance de +75% en seulement trois ans ! Les fabricants ne cessent d’innover pour répondre à la demande : nouvelles saveurs, meilleurs rendements, plus de sécurité, etc.

Vape ou pas vape ? Les règles à connaître avant de se lancer

Oui, vapoter c’est légal. Mais attention, ça ne veut pas dire qu’on peut faire n’importe quoi. En France, la réglementation est bien claire sur plusieurs points. Par exemple, le vapotage est interdit aux mineurs, et il est interdit de vendre des e-liquides contenant plus de 20 mg/ml de nicotine (merci l’arrêté du 19 mai 2016).

Autre point important : les fameuses « puffs », ces petites e-cig jetables très prisées des jeunes, sont interdites à la vente en France et en Belgique depuis 2023. Pourquoi ? Parce qu’elles sont accusées d’inciter les jeunes à commencer à fumer, alors qu’à la base, elles étaient pensées comme un outil de sevrage.

Et puis, il y a le volet environnemental : les puffs, souvent en plastique, contiennent des métaux lourds et des composants polluants. Un vrai souci pour la planète, d’où leur interdiction progressive.

Enfin, petit rappel utile : il est interdit de faire de la pub pour les cigarettes électroniques. Donc, pas de spots TV flashy ni de pub dans le métro avec des slogans accrocheurs. Le vapotage reste encadré, et c’est tant mieux pour éviter les abus.

L’avenir du marché : entre innovation, concurrence et fiscalité

Le vapotage, ce n’est pas juste un effet de mode. C’est un marché qui s’installe sur le long terme. Mais attention, il n’est pas à l’abri des secousses. En 2024, on parle sérieusement de mettre en place une taxe sur les produits de vapotage. Et ça, ça pourrait clairement refroidir les nouveaux venus… et compliquer la vie des habitués.

Côté innovation, en revanche, ça ne s’arrête jamais. Chaque année, les fabricants proposent des nouveaux modèles plus performants, des liquides avec des arômes toujours plus originaux, et des options plus personnalisables. Bref, la cigarette électronique évolue aussi vite que les smartphones !

Mais tout n’est pas rose pour autant. Avec la multiplication des boutiques en ligne, certaines enseignes physiques ferment leurs portes, faute de clients. En même temps, commander sur Internet, c’est souvent moins cher… Mais on perd parfois le conseil personnalisé qu’on peut avoir en magasin.

Les marques et boutiques doivent donc s’adapter sans cesse, jonglant entre l’envie d’innover, la pression des nouvelles réglementations, et une concurrence toujours plus féroce.

Si le vapotage continue de séduire, c’est parce qu’il répond à un vrai besoin : réduire ou arrêter le tabac de manière progressive et moins contraignante. En 2024, le marché pèse lourd, et rien ne semble pouvoir freiner sa croissance… sauf peut-être l’arrivée de nouvelles taxes. Reste que le secteur ne manque ni d’innovations ni de clients. Reste à voir comment il continuera d’évoluer face aux défis sanitaires, environnementaux et économiques. En attendant, vapoter reste pour beaucoup un choix plus sain… mais qui demande d’être bien informé.